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Études Kurdes - HS IV -...

Études Kurdes - HS IV -...

<p><strong>Sommaire :</strong></p> <p>Avant-Propos : Anniversaire de la mort de l’émir     5 The History of the Ottoman-Kurdish Bedirhani Family in the Late-Ottoman Period and Beyond: An Attempted Overview and Invitation to Further Research - <strong>Barbara Henning</strong> Emir Bedir Khan: Exile Years - <strong>Ahmet Kardam</strong> Les Bedir Khan et leur rôle dans le patriotisme kurde <strong>- M. Malmîsanij</strong> Le gardien de la flamme <strong>- Joyce Blau</strong> Témoignage <strong>- Bernard Dorin</strong> Emir Kamuran Bedir Khan: Le passeur. <strong>- Jean-Marie Pradier</strong> Témoignage de mes liens avec l’émir Kamuran Ali Bedir Khan <strong>- Gérard Chaliand</strong> Une vie au service de la cause kurde. <strong>- Kendal NEZAN</strong> Témoignage de la famille <strong>Sinem Bedir Khan</strong> <strong>Documents <br /></strong>            - (Articles, photos, lettres, etc.) originaux<br />            - Poèmes<br />            - Bibliographie</p> <p></p> <hr /><p><strong>Emir Kamuran A. Bedir Khan</strong></p> <p>Linguiste, poète, docteur en Droit, initiateur avec son frère l'émir Djeladet, du renouveau culturel kurde des années 1930-1940 autour de la revue Hawar et des magazines Roja Nû et Stêrk, l'émir Kamuran A. Bedir Khan, qui enseigna la langue et la civilisation kurdes à l'Ecole des Langues Orientales de Paris de 1948 à 1970, fut aussi un éminent artisan des relations franco-kurdes.</p> <p>L'Institut kurde de Paris a tenu à lui rendre hommage par un colloque organisé en décembre 2018 à Paris pour commémorer le 40è anniversaire de sa disparition. Dans ce numéro spécial, la Revue Etudes Kurdes publie les actes de ce colloque exceptionnel ainsi que de nombreux documents d'archives souvent inédits.</p>
Prix 10,00 €
Études Kurdes - Justice...

Études Kurdes - Justice...

<p>Nous sommes heureux de publier dans ce numéro spécial les actes du colloque international intitulé « Justice linguistique et langues minoritaires : le cas du kurde » co-organisé par les universités de Paris 2 et de Rouen et la fondation Institut kurde de Paris, le 12 octobre 2018 au Centre international de culture populaire, à Paris.</p> <p>Le colloque, qui a été honoré de la présence de M. Fernand de Varennes, rapporteur spécial des Nations Unies sur les questions relatives aux minorités, a réuni des spécialistes mondialement reconnus dans le domaine de la justice linguistique et des droits des minorités linguistiques. Premier de son genre en ce qui concerne la problématique de justice linguistique, le colloque a permis d’aborder, à travers la situation particulière de la langue kurde, les multiples aspects du principe d'équité quant à l'accès et à l'usage des langues minoritaires ou minorées ne bénéficiant pas d'une reconnaissance officielle et d'une prise en charge dans le système éducatif, dans les médias et dans le marché.</p>
Prix 10,00 €
Études kurdes - Numéro 12

Études kurdes - Numéro 12

<p>Au sommaire de ce numéro qui a pour thème «<strong> Les Kurdes et les frontières »</strong></p> <ul><li>« La frontière, un laboratoire esthétique et idéologique pour les réalisateurs kurdes » par Pauline Tucoulet<br /><br /></li> <li>« Les frontières linguistiques kurdes : un état des lieux » par Salih Akin<br /><br /></li> <li>« L’infra-politique des Kurdes dans « les années de silence ». La contrebande : un défi aux frontières étatiques » par Adnan Çelik<br /><br /></li> <li>« Frontières, Etats-Nations et minorités au Moyen-Orient : Un nationalisme sans nation ? Le cas des Kurdes après la Première Guerre mondiale » par Najat Abdulla<br /><br /></li> <li>« Rethinking Borders : A discussion on Vision of Borders in Democratic Confederalism » par Tuncay Şur et Seyhan Atak</li> </ul><p>Chronique bibliographique</p> <p>Nécrologie : Triste disparition de trois amis et grands connaisseurs des Kurdes.</p>
Prix 10,00 €
Études kurdes - Numéro 14

Études kurdes - Numéro 14

<p>Au sommaire de ce numéro qui a pour thème </p> <p style="text-align:center;">«<strong> Les organisations islamistes kurdes<br />Trajectoires, ressources, intégration politique<br />De la transnationalisation à la nationalisation des engagements »</strong></p> <ul><li>Martin van Bruinessen<br />Kurds in the Islamic movement, Islamists in Kurdistan:<br />The Muslim Brotherhood and Kurdish Islamist movements<br /><br /></li> <li>Hawzhin Baghali - Les islamistes kurdes iraniens, pénurie de ressources et stratégie d’intégration dans l’économie locale : le cas de Maktab-i Qoran<br /><br /></li> <li>Hardy Mède - Les islamistes au Parlement du Kurdistan irakien<br />Entre contraintes institutionnelles et impératif religieux <br /><br /><br /></li> <li>VARIA</li> <li>Barbara Couturaud - The Early Bronze Age in Iraqi Kurdistan: A Brief Assessment</li> <li>Alisa Shablovskaia - Les « bons sauvages » au service de l’Empire : les Kurdes dans l’imaginaire russe à l’époque de la Première Guerre mondiale, 1914-1917<br /><br /></li> <li>NECROLOGIE</li> <li>Sacha Bourgeois-Gironde - David Graeber: un anthropologue anarchiste et admirateur fervent des Kurdes du Rojava</li> </ul>
Prix 10,00 €
Études kurdes - N° 2 -...

Études kurdes - N° 2 -...

<p>La revue Études Kurdes se propose de mettre à la disposition des spécialistes une revue bi-annuelle, en français, dans le dessein de les informer sur tous les aspects de la société kurde : langue, littérature, sociologie, anthropologie, histoire... Il va de soi que cette tâche ne peut être menée à terme que dans le strict respect de l'objectivité et de la pluralité d'opinions. Ensuite, elle a le projet de devenir un forum pour les jeunes chercheurs, en nombre croissant, qui travaillent sur divers aspects de la société kurde, mais dont les études ne sont connues que d'un cercle limité de spécialistes.</p>
Prix 5,00 €
Études kurdes - N° 3 -...

Études kurdes - N° 3 -...

<p>L’existence des tribus alévies de langue kurde -et zaza-,qui utilisent exclusivement le turc comme langue de rituel et dont la plupart ont des noms de tribu en turc, a fait travailler l'imagination explicative de nombreux auteurs. A la fois nationalistes kurdes et turcs ont eu des difficultés à définir l'identité ambiguë de ces groupes et ont tenté de justifier les détails embarrassants. Des tentatives, faites naïvement afin de prouver que le kurde (kurmandji, N.d.T.) et le zaza sont essentiellement des langues d'origine turque, n'ont pas été abandonnées et ont même reçu une nouvelle impulsion après 19803. <br /><br /> D'autre part, certains Kurdes soulignent que même les Alévis turcs ont dû, originellement, hériter leur religion des Kurdes. S'appuyant sur l'ancienne tradition orale, nombre de membres des tribus concernées y ont ajouté leurs propres interprétations, inspirées aussi clairement par un certain opportunisme politique. Les tribus n'ont jamais eu une position exclusive et explicite vis-à-vis du mouvement nationaliste kurde et de la République turque. Les appels opposés de ces deux entités nationales (ou de ceux qui aspirent faiblement à devenir une nation comme les Zazas ou le peuple alévi) à la fidélité des Alévis kurdes ont déchiré ces communautés....</p>
Prix 5,00 €
Études kurdes - N° 4 -...

Études kurdes - N° 4 -...

<p align="justify">L’expérience d’auto-administration kurde en Irak entre bientôt dans sa douzième année. Ce qui avait commencé comme un expédient politique improvisé dans les circonstances exceptionnelles des lendemains de la guerre du Golfe, pour rapatrier et rassurer une population de plus de deux millions de Kurdes réfugiés aux frontières de l’Iran et de la Turquie, a fini, au fil des ans et d’un cheminement tumultueux, par s’affirmer comme un Etat quasi indépendant et singulier.</p> <p align="justify">Cet Etat a des frontières précises défendues par l’aviation anglo américaine. Il couvre une superficie d’environ 40.000 km2, équivalente à celle de la Suisse ; il administre une population de 3,7 millions, comparable à celle d’Irlande.</p> <p align="justify">Il dispose d’institutions politiques et économiques, qui coopèrent officiellement et régulièrement avec des agences des ions-Unies dans le cadre de l’application d’une résolution (986) du Conseil de sécurité destinée à améliorer le sort de la population locale. Ses dirigeants sont reçus par les responsables occidentaux et par les plus hautes autorités des Etats voisins, pourtant peu suspects de kurdophilie, mais obligés, ne serait-ce que pour la sécurité de leurs frontières communes, de composer avec la réalité. Ses représentations quasi-diplomatiques ont pignon sur rue dans les principales capitales du Moyen-Orient et d’Europe, sans oublier Washington et New-York, bien sûr...</p>
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Études kurdes - N° 5 -...

Études kurdes - N° 5 -...

<p>«L’analyse est principalement basée sur les œuvres et vies de six peintres kurdes : Riza Topal est certainement le peintre kurde le plus connu en Europe. Fils d’une famille paysanne, il est né à Hülüman, petit village du Kurdistan de Turquie en 1934. Il vit depuis 1968 à Munich. Remzi est né à Kirikhan en 1928, alors sous mandat français. Lorsque la France, en se retirant, lègue le district d’Alexandrette à la Turquie, Kirikhan devient turc. En 1953, il quitte la Turquie pour étudier aux Beaux-Arts de Paris. En France, il n’a jamais peint son pays natal. Bachar est né en 1950 à Ghannamieh dans le nord-est de la Syrie. Politiquement engagé en tant que Kurde mais surtout dans l’opposition syrienne, il quitte le pays pour la France où il arrive en 1983, après avoir emprunté un chemin tortueux qui durera plusieurs années en passant par le Liban, la Grèce et l’Algérie. Il donne, dans ses tableaux, la part belle à l’espace. Hajou Bahram naît en 1952 au Kurdistan de Syrie; il fait ses études, entre 1978 et 1984, aux Beaux-Arts de Münster où il vit actuellement. Ghazizadeh est un Kurde d’Iran. Il est né à Saqqez dans les années 40. Il fait ses études de droit à Téhéran, ce qui l’éloigne, une première fois, de son pays, dit-il. En même temps, il s’inscrit aux Beaux-Arts. Sa peinture, témoin des événements de son pays, lui vaut l’emprisonnement. Il a été beaucoup inspiré par le réalisme socialiste et a longtemps peint sous cette influence. Il vit actuellement à Boulogne (banlieue parisienne). Rebwar Said est originaire de Suleymaniye, Kurdistan irakien. Il est fils d’enseignants. Il a été le compagnon des peshmergas dans son pays et a connu l’Anfal et les bombardements chimiques irakiens. Après quelques années passées en France, il s’est installé à Londres où il vit aujourd’hui».</p>
Prix 5,00 €